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Test de Final Fantasy X

par F.A.T.E

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Notation
 Scénario
16
 Gameplay
15
 Graphismes
18
 Musique
17
 Durée de vie
18

C'est en Mai 2002 que Final Fantasy X atteint l'Europe. Il est le premier de la série à paraître sur la Playstation 2, une console alors assez récente, dont les capacités graphiques sont bien supérieures à celles de la PSOne. Bien évidemment, ce 10 ème opus de la saga des FF a été attendu au tournant par les fans: qui n'a pas rêvé de voir sa série favorite dôtée de graphismes à la pointe de technologie, et de doublages pour les personnages (ne l'oublions pas)? Après un FFVII et VIII plutôt salués par les joueurs, Final Fantasy IX avait fait figure de retour aux sources. En va t'il de même pour le petit dernier? Une révolution pour la saga? Peu probable...

Scénario

Les premières minutes de ce 10 ème opus de Final Fantasy, prennent place lors d'un tournoi de Blitzball (sorte de football aquatique) dans une cité nommé Zanarkand, auquel Tidus, un joueur de l'équipe des « Zanarkand Abes », participe. Le match est mouvementé, bien que Tidus soit une « star » montante dans l'univers du Blitzball et que sa réputation soit influencée par la carrière de son père Jecht, ancien champion disparu depuis une dizaines d'années. Tout à coup, alors que le spectacle bât son plein, une « chose » immonde sort de l'eau entourant l'arêne et commence à détruire la ville, de bout en bout. Les gens paniqués, hurlent et accourent au dehors, alors que Tidus est rejoint par Auron, un ami. Après quelques combats contre les larves de « Sin », la créature susnommée détruisant la ville semble avoir fusionné avec le ciel : désormais, elle aspire tout ce qui se trouve à proximité d'elle, pour l'emmener...on ne sait où...Les bâtiments sont alors détruits, les citadins aspirés dans le gouffre béant qui s'ouvre au travers des nuages. Tout se désintègre, inexorablement.

Test Final Fantasy X

Au centre de cette vision apocalyptique, Auron laisse Tidus se faire happer par le vortex, en sa compagnie, avec pour seuls mots: « C'est ton histoire ».
A son réveil, Tidus est seul, dans les ruines, immergées sous l'eau. L'endroit est infesté de monstres, et après plusieurs rencontres douteuses, il échoue dans une sorte de palace détruit, où il tente en vain de faire du feu. C'est lors d'un combat qu'il rencontre enfin une troupe « d'êtres humains », ne parlant visiblement pas la même langue que lui...

Pour un début, FFX fait tout de même assez fort, puisqu'en l'espace de quelques minutes seulement, nous sommes plongés et cernés par l'angoisse de Tidus, qui assiste impuissant, à la « vision » épouvantable de la « Destruction ». Où a t'il atteri? Zanarkand...détruite? Est-il mort dans la destruction de la ville? Il faut dire que l'ambiance du jeu est très bonne, dès les premiers instants, et nous immerge vraiment à merveille dans Spira. La trame scénarisitque ne manque pas de rebondissements concernant Tidus et Sin, de rencontres, d'évènements marquants (L'Amour oblige...) bien que la fin du soft soit un peu plus nuancée. En fait, elle peut paraître décevante, car bien que profondément émouvante, celle-ci dévoile des « lacunes », ou plutôt un manque de développement. En effet, un des points forts du soft réside dans sa trame générale, qui bien que classique sur les bords , se laisse suivre avec une facilité déconcertante. Chaque dialogue nous motive, les révélations sont bien amenées et originales (L'invocation finale, Jecht...). Après, je n'ai personnellement pas vraiment adhéré à l'omniprésence du « Rêve » qui prend peu à peu pas sur l'intrigue et la rend très, voire trop abstraite. « Bon début, bonnes révélations, mais final de l'aventure nuancé ». Dommage. Je m'attendais à beaucoup mieux au niveau des explications, ici, les scénaristes semblent avoir choisi la facilité, en optant pour une issue scénaristique trop floue et qui ne prend aucun risque. Du coup, le synopsis du jeu peut sembler bancal sur les bords.

Pour ce qui est du charisme des personnages, il n'y a pas grand chose à dire. Le positif est qu'ils sont tous bien différents, autant esthétiquement, que moralement, et que contrairement à ce que l'on pourrait penser (et ce que disent certains), ne sont pas vraiment clichés. Certes, on retrouve des classiques comme la fille niaise (Yuna), la fofolle de service (Rikku), le solitaire (Auron), mais rien de bien méchant au final, il n'y a pas de surenchère sur les traits de caractère des protagonistes, ce qui évite de les rendre clichés ou caricaturaux. Pour moi, «Le Cliché », ce serait plutôt des personnages comme Cloud et Squall, mais bon...c'est une autre histoire! Le problème de FFX vient du fait que psychologiquement parlant, les concepteurs ne se sont pas foulés. Ainsi, on connaît au final peu de choses sur notre équipe, et leurs relations ne sont pas assez travaillées en dehors de l'histoire d'amour Tidus/Yuna, particulèrement « pitoyable » (un peu fort peut-être) et mal intégrée in-game.
Bilan mitigé, mais largement positif tout de même!

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Gameplay

Final Fantasy X demeure un soft très classique dans son déroulement. La disparition de la Map en 3D, vous oblige à suivre la route définie par le jeu, sans vraiment pouvoir vous en écarter. Les environnements sont beaux, mais relativement peu ouverts (sauf désert et plaine félicité), et il suffit la plupart du temps de se contenter d'avancer tout droit, en suivant le chemin imposé, duquel on ne peut sortir, pour faire progresser le scénario.Voilà qui rend l'aventure extrêmement linéaire. Bien sûr, au long de vos promenades, les monstres peuplant Spira vous attaqueront fréquemment, très fréquemment...

Pour ce 10 ème opus, l'Active Time Battle et abandonné au profit du CTB (Combat en Tours de Battement). Autant dire que cette idée à de quoi surprendre, puisque du point de vue du dynamisme, c'est plus une régression qu'autre chose. Dorénavant, chacun attaque selon un ordre prédéfini (les Tech l'influencent toutefois), sans que vous soyez interrompus par le mob lors d'un passage par le menu. Il n'y a donc pas de combos possibles, comme dans FFX-2 (logique, il n'étais pas sorti :=] ). En fait, il ne s'agît « que » d'un tour par tour classique. Une bonne idée demeure l'apparition de l'ordre des tours en haut à droite, qui permet de donner un dimension plus stratégique au système, et de l'aider à s'affirmer. La commande « Astuce » (action contextuelle) est également la bienvenue, mais elle est utilisable de manière trop anecdotique (surtout au début) pour vraiment convaincre. De plus, il est désormais possible de switcher avec les alliés de la réserve en pleine bataille, ce qui s'avère franchement salutaire en cas de situation critique, chaque intervenant ayant un style de combat très particulier, adapté à une situation précise.
Heureusement que le système d'évolution des personnages est bien développé dans cet opus, car autant dire que le retour en arrière du CBS n'est vraiment pas encourageant. Toutefois, je vous rassure, malgrè leur côté archaïque, les combats ne sont pas désinteressants...mais un peu moins pimentés que d'habitude.

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Concentrons nous alors sur le système d'évolution dont je viens de parler et qui s'avère lui,  innovant : le Sphérier.

Il n'y a pas de niveaux dans FFX, mais des points de compétences (PC) que l'on récolte à la fin de chaque combat (ils sont plus élevés avec les Overkill) et qui permettent notamment d'augmenter le Niv.E (Niveau d'Evolution) de chaque personnage ayant participé. En fait, votre Niv.E correspond au nombre de cases sur lesquelles vous pourrez vous déplacer dans le Sphérier (elles apparaissent alors en surbrillance). Ainsi, si mon Niv.E est de 2, je pourrai déplacer Yuna de 2 cases. Voilà pour les déplacements...
Mais l'intêret du Sphérier réside avant tout dans les possibilités d'évolution qu'il vous offre. Ainsi, moyennant quelques Sphères (elles aussi obtenues lors d'affrontements), vous pourrez augmenter les caractéristiques( Force, Hp+ X, Mp+ X, Constitution) de tel ou tel personnage ou bien apprendre à ces derniers de nouvelles Techniques, de nouveaux sorts. Il faut savoir que chaque membre de l'équipe à un parcours « prédéfini », en accord avec son type de combat (il vaut donc mieux l'emprunter), cependant, cela ne vous empêche pas de faire apprendre à Tidus de la Magie noire, ou des Sorts de Soin...qui pourront vous aider des temps en temps, soyez en convaincus. Une fois vos déplacements effectués vous pouvez activer une case adjacente à celle dans laquelle vous vous trouvez, moyennant un certain type de sphère (Comp, Agilité, Mentale, Physique, ou encore Limitosphère...). Le système est vraiment bien pensé de ce côté et permet de passer des heures dans les menus à faire progresser ses alliés. Pourtant il ne compense pas la lassitude que peut provoquer l'enchaînement des combats, mais au final, il permet tout de même à FFX de changer quelque peu la donne du côté du Gameplay. La personnalisation des armes est également présente : vous pouvez associer différentes capacités à ces dernières, à condition d'investir des Sphères, encore une fois (ah  Zombie!). Je vous laisse découvrir par vous même, mais il est certain que ce n'est pas le système de jeu qui sera retenu dans cet opus, à part si vous accrochez vraiment au Sphérier, ajout qui, pour ma part, ne m'a pas tant séduit que ça, en mode Standard.

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Graphismes

En prenant pour référence l'époque de sa sortie, en 2002, Final Fantasy X est loin de démériter. D'autant que l'évolution depuis la fameuse PSOne s'avère dantesque. Les personnages principaux sont modélisés et animés avec finesse, les détails au niveau de leurs costumes sont très appréciables, d'autant que ces derniers ne sont pas des plus...banals (cf Tidus). Le design général est parfaitement respecté et retranscrit. Lors des cinématique utilisant le moteur du jeu, on peut toutefois se plaindre du mauvais traitement réservé aux PNJ qui sont horribles et font vraiment peur à côté de nos héros: Visages très carrés, textures douteuses...le contraste et saisissant, et d'autant plus rebutant lorsque l'on compare la grâce et la beauté de Yuna (dont les yeux, la peau, les cheveux sont nets et très stylisés) à une Al Bhede, qui ressemble plus à une poupée désarticulée qu' à autre chose...Par contre, rien à redire du côté des CG qui sont très nombreuses et tout bonnement splendides: il s'agit d'un véritable émerveillement à chacune de leur apparition. Ces dernières savent vraiment bien mettre en valeur les personnages, ainsi que l'action, ce qui compense la mise en scène parfois douteuse, du reste de l'intrigue. Ne soyons pas sévères cependant, il s'agît du premier FF sur Playstation 2.

Les environnements sont dans l'ensemble inspirés bien qu'on puisse se plaindre d'un manque « de folie », notamment sur la fin du jeu, qui reste trop classique, dans ce qu'elle propose, esthétiquement parlant. Il n'y a pas vraiment de prise de risque, du moins, pas assez. Les décors sont toujours en pré-calculé (à mon plus grand désespoir), avec des changements d'angles de vue, mais demeurent plaisants, et surtout précis. Certains, comme Besaid sont très colorés et respirent la poésie, ce qui est un réel plus pour l'ambiance. J'ai tout de même bien aimé la Cité Onirique, qui rattrape une « Mer de Tristesse »...très triste pour le coup (et vide surtout). L'absence d'une carte en 3D sur laquelle on pourrait se déplacer est aussi pénalisante, puisque le jeu ne devient alors qu'une succession d'environnements, qu'on parcourt en ligne droite, avec de temps en temps quelques cinématiques. Au niveau de la cohérence, ce choix est loin d'être des meilleurs, puisqu'on passe de plaines à montagnes, déserts...sans vraiment de logique ou de véritable « transition ». Reste malgrè tout que l'univers de Spira est extrêmement attachant, et dégage quelque chose d'unique pour le joueur.

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En combat par contre, rien à redire, personne ne sera bluffé certes, mais le jeu nous donne quand même une sacré claque, avec des séquences d'invocations divines et une animation de très bonne facture. Que ce soit lors des mouvements, des Overdrive, des Magies, tout est fluide et passe à merveille. Les différents jeux de lumières sont très convaincants, de même que la modélisation des protagonistes est correcte. L'ensemble s'avère varié, la palette de couleurs est convaincante et le design des différents monstres m'a bien plus, ces derniers étant très nombreux, voilà qui est appréciable!

Petit malus au niveau de l'esthétique des menus, qui sont tous « violets » flashy, ce qui n'est pas forcément des plus plaisant. Enfin, les goûts et les couleurs...
Le tout reste très agréable, pour un début sur PS2.

Musiques

Nobuo Uematsu confirme sa position de maître avec l'O.S.T de Final Fantasy X, qui est parfaitement en accord avec ce que souhaite exprimer le jeu: cette ambiance habilement nouée de féérie, de rêve et parfois de peur. Les pistes sont donc pour la plupart douces et empruntent d'une nostalgie très palpable. Le thème central du soft, To Zanarkand, joué au piano, en est le meilleur exemple. Je peux vous assurer que dès l'intro, les émotions qui se dégagent de cette musique vous envahissent et laissent présager une tournure bien tragique de l'aventure...
Notons également qu'Uematsu n'est pas seul, puisque Hamauzu (SaGa Frontier 2, Unlimited SaGa, FFVII: DoC)... et Nakano (Final Fantasy IV) l'accompagnent sur le travail de FFX, d'autant que ces derniers ne déméritent pas, loin de là.
Ainsi, This Is Your Story, Hopeless Desire, Illusion, Please Remember Silence Before The Storm, Someday The Dream Will End(vraiment magique) sont des thèmes marquants, et profondément touchants. A noter que certains d'entre eux (Hopeless Desire et les deux derniers) illustrent des passages de gameplay (exploration) et parviennent sans mal à transcender vos pérégrinations...Vraiment magnifique.

Le bilan est un peu plus contrasté du côté des thèmes d'affrontements: Battle, qui est la musique des random combats n'est pas vraiment à la hauteur. Non pas qu'elle soit mauvaise, mais elle est surtout trop répétitive et ne colle pas du tout à l'ambiance du jeu. Ennemy Assault est beaucoup plus convaincante et bien rythmée, c'est le thème de boss signé Nakano. On continue sur notre lancée avec Seymour Battle et The Challenge (Yunalesca) qui sont deux thèmes géniaux, très inspirés et originaux, qui rendent l'affrontement des boss concernés vraiment culte, emprunt d'une dimension fantastique(fin du jeu oblige)...Summoned Beast Battle et Final Battle sont également très corrects.

Le thème du « boss final » (disons que chronologiquement ce n'est pas lui, mais bon,  il est juste avant. Le dernier boss étant tellement ridicule et simple...ce n'est pas tant un boss: il suffit de lui infliger Zombie, puis Soin max ou Vie, et hop, y a plus personnne^^), Otherworld, est par ailleurs assez surprenant, puisqu'il s'avère assez éloigné  de ce à quoi l'on pouvait s'attendre, il est très rock,     mais demeure extrêment dynamique et addictif, pour peu qu'on l'écoute du début à la fin.

En résumé, l'O.S.T de FFX est une vraie réussite, il est remarquable et véhicule en toute simplicité un tas d'émotions, qui, je vous assure, vous suivront chaque fois que vous repenserez au jeu. Tout simplement Culte!

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Durée de vie

Final Fantasy X demande à peu près 40 à 45 heures de jeu pour être terminé (il m'a fallu 46 h pour finir le scénario principal), voilà qui reste honorable, d'autant que la linéarité du soft pouvait, au départ, permettre d'en douter...
Cependant, comme à l'habitude, plusieurs quêtes secondaires vous permettront de passer quelques dizaines d'heures supplémentaires sur le jeu: On vous proposera par exemple d'affronter les Chimères secrètes, telles que Yojimbo, les Chimères purgatrices (l'équivalent de vos Aeons en « Dark ») ainsi que le fameux et surpuissant Der Richter, un des boss les plus durs de la Saga du haut de ses 12 millions de PV! Croyez moi, vous allez souffrir sur ce combat! On note aussi la présence de quelques minis-jeux plus ou moins intéressants (Les chocobos de la Plaine Félicité pourront peut-être vous être utiles).

On peut également noter les possibilités énormes du Sphérier, que vous pourrez d'ailleurs utiliser en mode Expert lors d'une seconde partie (vous verrez alors que ce dernier est bien plus étoffé et complexe que le « Standard »), et croyez moi, car il n'y a aucun doute là dessus, on peut passer plus d'une centaine d'heures à perfectionner ses protagonsites à l'aide des fameuses Sphères, et encore!

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Au final, Final Fantasy X ne faîllit pas, et reste ma foi dans la continuité de la série. La qualité graphique et sonore du jeu, sa durée de vie et son scénario plutôt bien mené en font une valeure sûre pour tout RPGiste. Cependant l'ensemble est loin d'être parfait, la faute à un système de combat déjà vu et très peu original (le Sphérier remonte quelque peu le niveau) ainsi qu'à une trame qui peut sembler décevante, à terme, puisque les explications et l'orientation de l'intrigue partent un peu en n'importe quoi sur la fin du jeu (après, certains d'entre vous apréçieront, bien sûr !). Les personnages sont un peu trop lisses mais cela n'est  pas plus mal, vis à vis de certaines personnalités des précédents opus...D'une manière générale, le soft ne prend pas assez de risques. En bref, voilà un bon jeu, qui n'est pourtant absolument pas un Hit!

Points forts
Points faibles
Des graphismes de bonne facture, qui font rêver en comparaison de ce qu'offrait la Playstation. Le design des personnages est plutôt réussi.
Un système de combat en lui-même trop rigide. La perte de l'ATB rend les affrontements peu dynamiques voire parfois lassants vu la fréquence des batailles....Dommage car le soft se voit pourtant greffer une petite touche tactique. Il aurait fallu approfondir de ce côté.
Une trame scénaristique générale plaisante, qui possède son lot d'émotions. Le jeu démarre rapidement et l'atmosphère qu'il met en place est vraiment de très bonne facture. Certains rebondissements sont très efficaces et surprenants. Il  y a de l'idée, sans conteste.
Le scénario, dans sa profondeur, est plutôt décevant, les explications ne sont pas toujours des plus cohérentes (fin du jeu) et cela est vraiment dommage car les rebondissements sont nombreux et plutôt bien exploités. Il faut accrocher à l'idée...
Les possibilités offertes par le Sphérier sont énormes et vous permettront vraiment de spécialiser vos personnages comme vous le souhaitez.
La linéarité, qui finit par énerver le joueur.
La Bande son d'Uematsu/Hamauzu/Nakano est vraiment surprenante. Chaque piste colle parfaitement à l'univers du jeu, et l'harmonie qui s'en dégage emporte le joueur sans aucun mal. Du très bon boulot.
Un peu plus de travail sur les personnages aurait été souhaitable. Ils ne sont pas assez analysés, on ne connaît pas tant sur eux...
Une durée de vie conséquente, la trame principale étant déjà relativement longue. Les boss optionnels sont un régal.
Un remake sans « modifications » ou améliorations majeures...

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